vendredi 30 mars 2018

De Madrid à Genève...

Nous quittons l’appartement de la calle Libertad à 9h10.

Nous atteignons la plaza Puerta del Sol à 9h30. Nous prenons le train Renfe. 

A 9h50, nous sommes dans la station de transit. 

Dans le train.

Nous arrivons à l’aéroport Adolfo Suarez Madrid Barajas à 10h10. Une employée du métro, charmante et débrouillarde, vend pour nous les deux cartes de métro à un couple et à un monsieur qui viennent juste de débarquer.

Nous enregistrons les deux valises et nous arrivons au salon Priority Pass vers 10h45.


 Après 11h30, nous nous rendons en salle d’embarquement J52. Le vol Iberia 3490 annoncé à midi trente a été avancé de vingt-cinq minutes sans que nous le sachions.


Le pilote dans le cockpit prépare le décollage à 12h15.

Haut dans le ciel sur les nuages.



Sommes- nous seuls à bord de l'avion ?

La pluie coule sur le hublot à 14h20 quand l’avion s'approche de la passerelle. 

Au revoir Madrid


Nous quittons l’appartement de Libertad vers les 9 heures. Ensuite, nous prenons le Renfe pour l’aéroport de Madrid. Sous un ciel bleu, l’avion nous emporte dans le ciel. Une mosaïque s’offre à nos yeux des champs de la Castille en Espagne.
Une heure après, l’avion survole les Pyrénées enneigés. Après avoir traversé la frontière,  une mer de nuages surgit devant nous. La France est sous la flotte. Des perturbations font tanguer l’avion. L’arrivée sur Genève est acrobatique. Fort heureusement le pilote est expérimenté, il pose l’appareil en douceur malgré les fortes pluies. Nous voici de retour à Genève. Une navette nous conduit au Dôme sous des seaux d’eau.


jeudi 29 mars 2018

Madrid sous le ciel bleu

Malgré un petit vent frais, le soleil brille comme en plein été. Le ciel d’azur resplendit, seulement terni par quelques nuages solitaires naviguant vers d’autres horizons. Ces derniers nous font un petit signe avant de poursuivre leur périple vers la mer.
Aujourd’hui, jeudi saint, les Espagnols sont en vacances. Cela se ressent dans les rues qui sont presque désertées ce matin. L’après-midi, quelques touristes se mélangent avec les quelques Madrilènes qui sont encore dans la capitale. Apparemment, la « semaine sainte » semble une bonne opportunité pour un week-end prolongé de jeudi à mardi, cinq jours !



Promenade vers la Plaza Villa de Paris et le long du Paseo de Recoletos...



Trois dessinateurs œuvrent sur le Paseo de Recoletos.


mercredi 28 mars 2018

Autre journée estivale à Madrid


Un ciel bleu lumineux pose sur Madrid un couvercle chaud et ensoleillé. La température atteint 21° à l’ombre près de la Porte del Sol. Les rues sont bondées de gens dont certains ont sorti les tenues d’été. Nous mangeons pour la dernière fois chez « El Estragon » et pour les remercier de leur gentillesse et de leurs repas succulents, nous leur offrons des livres de Saint-Exupéry « Le Petit Prince » en espagnol. Ils sont ravis.

Après le repas, nous jetons un coup d’œil au Jardin « Prince d’Anglona » où nous pouvons constater l’éveil de la nature. Les fleurs du magnolia s’épanouissent lentement. Hélas, les dernières pluies ont abîmé leur robe de soies roses. De nombreux visiteurs entrent dans le parc profitant de ce petit havre de paix.
Un petit nuage effiloché s’étire sur le turquoise de la voûte céleste. 



El Jardín del Príncipe de Anglona à Madrid...

Fleur de magnolia.





mardi 27 mars 2018

Madrid estival


Un soleil estival dépose ses rayons chauds sur Madrid. Le ciel d’azur se laisse à peine toucher par quelques tombées laiteuses de nuées passagères. Les rues grouillent de gens avec quelques tenues légères qui côtoient encore quelques vêtements d’hiver.
Nous profitons de ce temps estival pour visiter le jardin de Sabatini situé en face du Palais Royal. Nous pensons que c’est dans ce parc qu'ont été tournées les scènes du colin-maillard entre Yves Montant et Alice Saprich dans le film "La folie des grandeur".